À trois semaine du dernier entraînement, Christophe Margerit dresse le bilan (mieux vaut un bilan dressé, parce qu'un bilan couché, ce n'est jamais bon signe, signe qu'il est malade). Christophe, Céline, Philippe, Stéphane et Hervé sont les entraîneurs-animateurs de la plus jeune section du club.

Or, tu vas le constater,

Chère lectrice, cher lecteur, cher tout court,

Il y a de quoi se réjouir.

À cette époque, 40 petits étaient inscrits. Début juin, on en compte encore 32. On constate de l'assiduité jusqu'au bout sachant qu'en juin il y a toujours un peu de déperdition.

Les petits sont enthousiastes, nous aussi. Ils sont même parfois très enthousiastes !

Cette année, le club a disputé quatre ou cinq compétitions dans les petites catégories : des cross, des Kids Athlé, le Défi Vellave Jeunes. Une dernière compétition arrive le dimanche 26 juin. C'est la finale départementale du Kids Athlé à Roanne. Nous aurons des absents car en cette période plein d'évènements autres retiennent les enfants : kermesses, évènements familiaux, etc.

Pour le moment, une quinzaine sont inscrits et nous nous rendrons à Roanne, évidemment.

 Sur le plan sportif, quelle évolution chez les jeunes de l'école d'athlétisme ?

 Ils ont réalisé d'énormes progrès par rapport au début de l'année. À la perche comme on a pu le voir aujourd'hui, mais aussi dans tout le reste : dans les courses, les lancers, tout ce qui est coordination. Ils sont beaucoup mieux coordonnés qu'en début d'année. Là où on s'en rend le plus compte, c'est quand la saison recommence. En début d'année, ça saute aux yeux. On remarque un écart énorme entre les anciens et les nouveaux, c'est flagrant.

C'est une saison très satisfaisante. Des parents envoient déjà des mails pour inscrire leurs enfants l'année prochaine. Quoiqu'il en soit, nous ne pourrons pas en prendre plus de quarante en école d'athlétisme.

Dans des catégories plus âgées, nous avons aussi des demandes. En benjamins -minimes aussi le groupe est limité à une petite quarantaine. À partir de cadets, le problème de place ne se pose plus. "