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Une course vraiment pas facile : l'Ultra Trail di Corsica (la Restonica)
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15 Juillet 2016 - Jean-Paul Gallot
Une course vraiment pas facile : l'Ultra Trail di Corsica (la Restonica)

Le 7 juillet 2016, Nelly et Philippe Zotos ont disputé l'Ultra Trail du Corsica (la Restonica) à Corte.108,4 Km, D+ 7200 m. 155 partants, 106 arrivants (donc plus de 30% d'abandons).

Pour le site de l'ACSM, Nelly décrit sa course, donne son ressenti, détaille une épreuve extrêmement exigeante dont elle se tire avec les honneurs : elle se classe  2ème féminine et 1ère vétérante en un peu plus de 25 heures.                                         

Bien avant l'heure du laitier ou celle du boulanger, le départ a été jeudi 7 juillet à 23H30.

" Vu la chaleur, il valait mieux " estime Nelly.

Avant,

 Chère lectrice, cher lecteur, cher tout court,

 de t'embarquer dans le récit qui suit, prend un café, branche ton casque avec une musique qui tient réveillé parce que tu appareilles pour un raid de plus de 24 heures sans fermer l'œil.

 Plus de 24 heures sans dormir, c'est dur non ?

 " La première nuit, ça allait bien. Je n'ai pas ressenti le manque de sommeil. On part, on est dans le feu de l'action, le jour se lève très très vite. C'est passé vraiment très vite jusqu'au lever du jour. C'est en attaquant la deuxième nuit que c'est devenu plus dur, mais la première nuit s'est très bien passée.

Le démarrage se fait avec la lampe frontale, le chemin est jalonné de balises fluorescentes qui se repèrent assez bien. À plusieurs endroits, des participants se sont égarés. Les balises étaient peu nombreuses, il ne fallait pas se rater. "

Les concurrents utilisent des lampes à batterie et doivent emporter aussi, dans leur sac, une batterie de rechange, ainsi qu'un sifflet, au moins un litre d'eau, coupe-vent, couverture de survie et des recharges alimentaires. Téléphone portable indispensable avec enregistré un numéro de secours à appeler en cas de nécessité, une casquette ou une visière et un gobelet pour le cas où certains postes de ravitaillement en seraient démunis ou, pour prendre de l'eau directement au ruisseau comme cela peut se produire.

Il peut arriver que les sacs soient vérifiés pendant la course. Pour Nelly et Philippe, ça n'a pas été le cas.

 La difficulté, c'est de conserver son rythme

 Dès le départ, le profil " cogne " : 1298 m de dénivelé positif ( D+ )  en 6,8 Km, c'est-à-dire 19% de pente. Pas vraiment une affaire pour les débutants.

CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AU PROFIL DE LA COURSE avec les points de contrôle, altitude, horaires de passage, distance parcourue, classement, moyenne horaire

" Au démarrage de la course, je me sentais très bien. Je suis partie à mon rythme. Je me suis mise derrière et puis j'ai doublé quand j'ai pu.

La difficulté, c'est de conserver son rythme. Même sur un rythme de marche, perdre son rythme, c'est toujours un peu ennuyeux. J'ai doublé un ou deux personnes ce qui fait que je suis resté presque à la même place tout le long. "

Bien organisés, Nelly et Philippe avaient effectué une reconnaissance diurne à la marche de cette terrible ascension trois jours avant.

" Nous savions ce qui nous attendait , nous nous sommes mis dans le rythme de course sans pression. Le fait de participer tous les deux, c'était sécurisant pour moi. Partir de nuit sur un terrain inconnu, j'ai toujours un peu de la crainte, n'ayant pas trop le sens de l'orientation. J'étais bien contente d'avoir Philippe avec moi. Je me disais qu'au cas où je me perdrais, au moins il serait là.

Pendant la première partie du trail, j'ai sympathisé avec la gagnante parce que nous sommes restées pas très loin l'une de l'autre toute la montée.

 On était dans notre petite bulle

 Arrivée au deuxième pointage, on me dit que j'étais première. J'ai répondu que non, qu'une fille se trouvait devant moi. En réalité, elle s'était perdue ! Effectivement, pendant un moment je me suis retrouvée devant. Après, elle m'a très vite rejoint. On a pu discuter un peu. On a dû faire les trente premiers kilomètres ensemble. Elle était sympa, d'un très bon niveau. J'ai eu un peu peur de partir trop vite. Je l'ai laissée aller devant. Je lui ai dit " Vas-y, moi je fais ma course tranquillement. Je ne l'ai jamais revue, elle était vraiment forte.

Après on a eu une descente, pas trop technique par rapport à toutes les autres. Ça s'est bien passé. Puis est venu, pendant cinq ou six kilomètres, un long chemin forestier ascendant, plutôt faux-plat montant. Avec Philippe, on a pris notre petit (SIC) rythme. Beaucoup marchaient. Nous avons réussi à courir tout le temps. On était dans notre petite bulle. On a continué notre chemin, toujours avec les frontales.

 Il n'y a pas de chemin, il faut escalader des rochers

 La toute première partie de la course, jusqu'au trentième Km, question technicité, ça allait à peu près. À partir du trentième kilomètre, ça a commencé à se corser ( NDLR : c'est bien l'endroit pour ! ) avec une ascension très technique. Ça commence dans la végétation, avec des arbres. Ça se termine avec de la rocaille, du rocher. Il faut tout le temps  faire de l'escalade, escalader les rochers. Il n'y a pas de chemin. Sur les rochers en escalade, on ne regarde que les balises et on les vise. À certains moments, nous devions être à un ou deux kilomètres/heure. C'était vraiment de l'escalade jusqu'au sommet. Parfois on se demandait où est-ce qu'on allait nous faire passer. On voyait des espèces de dentelles tout en haut des rochers. Là on nous faisait passer à travers deux petits mamelons et on se retrouvait de l'autre côté pour redescendre. Aussi vertigineux que du côté de la montée. Souvent, on ne peut même pas courir. On marche, on escalade pour redescendre de la même façon que pour la montée. Certaines parties sont très rocheuses avec de petite pierres concassée qui roulent beaucoup. Là il faut se laisser glisser au maximum sans trop d'appréhension, un peu comme au ski. On laisse chasser, glisser et l'on descend tant bien que mal. J'avais mes bâtons, Philippe aussi. En descente ça m'a bien servi, avec mon genou (NDLR : après une opération du ménisque), ça m'a bien servi, ça m'a permis de m'équilibrer un peu et de me rassurer en descente.

 Des bâtons pour les passages techniques

 Quand on sait les utiliser, mieux vaut avoir des bâtons dans les passages très techniques comme ça. Mais  lorsqu'il faut escalader et que l'on a besoin des mains, les bâtons constituent une gêne. Mais à la Restonica, sur les trois-quarts du parcours, ils m'ont été très utiles. Dans les montées, les bâtons aident à prendre un rythme. On voit certains concurrents, sans bâtons, marcher les mains sur les hanches. Du coup, ils avancent un peu au ralenti. Alors qu'avec des bâtons, on est obligé d'adopter un rythme. Ça permet de soulager le trailer et de garder la cadence. Sans les bâtons, on a tendance à s'endormir un peu sur ses lauriers au bout d'un moment quand ça devient trop technique et trop lent.

Les bâtons s'utilisent comme pour la marche nordique. Selon la pente, parfois on les plante tous les deux en même temps, parfois on fait " le pas de singe ". Parfois on les plante vraiment en cadence, dans les côtes qui ne montent pas trop, pour garder un rythme alors qu'on ne peut pas courir parce que ça met trop dans le rouge et qu'on ne marche pas trop lentement. "

 Une montée de trois à quatre heures avant une descente vertigineuse

 Entre le relais de Calacuccia ( Km 33 altitude 852 m ) et celui de Ballone ( Km 49 altitude 1455 m ) une montée d'une dizaine de kilomètres amène les concurrents à 2500 m d'altitude c'est-à-dire une pente de 16 à 17% avant une descente de 6 Km pour une chute de plus de 1000 mètres. À s'en entendre bourdonner les oreilles !

 " On a dû monter pendant trois ou quatre heures, estime Nelly. Dans cette course, toutes les descentes sont vertigineuses. Impressionnant. Les montées sont raides aussi, mais c'est moins impressionnant la montée que la descend. Quand on arrive vraiment en haut avec une vue à 360°, avec la profondeur de tout ce qui est devant et qu'il faut redescendre, c'est un peu comme de ne pas savoir skier, de se trouver en haut de la piste noire et de se demander " Qu'est-ce que je fais, par où je passe ? ". Il faut se lancer. Une fois qu'on est dedans, ça va. On saute de rocher en rocher.

Nous sommes arrivés à Ballonne ( Km 49 ) sans que ressente de gros coup de mou. Comme chaque fois que nous sommes arrivés en bas, nous étions contents d'arriver en bas parce que ça fait un peu mal sur les cuisses. Philippe nous avait bien préparés. Nous avions fait un peu de renforcement musculaire. On n'a pratiquement pas eu de courbatures. Ça s'est vraiment très très bien passé. Physiquement, je pense que nous étions prêts.

 Je commençais à ne plus marcher droit

 Ensuite, jouent beaucoup le mental, la chaleur, l'alimentation, mais c'est une autre gestion. Physiquement, musculairement, nous étions vraiment prêts parce que nous n'avons eu ni courbatures ni grosses douleurs. On encaisse puis on relance la montée suivante.

Nous nous sommes davantage arrêtés au ravitaillement de Vergio ( Km 63 ), où nous attendaient Nathalie et Christophe Roupie ( NDLR : en 10H59 Christophe Roupie s'est classé 15ème du Restonica Trail, épreuve de 70 Km disputée le 9 juillet ) ainsi que les enfants. On avait pu au départ leur donner un sac avec des affaires de rechange. On s'est crémé les pieds, on a changé de chaussettes. On a fait une plus grosse halte pour s'alimenter correctement. On a mangé un peu plus consistant, la soupe de pâtes, parce qu'on savait que derrière ce serait un peu plus dur. On a fait une bonne halte, on a discuté avec les enfants avant de repartir  au bout d'une petite demi-heure.  

Nous nous sentions très bien. C'est un petit peu plus loin que, sans que je m'en aperçoive, je commençais à ne pas marcher droit. C'est Philippe qui m'en a avertit. Il m'a conseillé de manger du sucre. J'avais consommé les produits sucrés aux ravitaillements. Je n'avais plus trop envie de gel et de produits sucrés dans mes gourdes. J'avais consommé beaucoup d'eau gazeuse. J'avais moins mangé de sucres. Il l'a vu à ma démarche. Il m'a dit " Mange du sucre parce que tu commences à tanguer un peu  ".

J'ai mangé du sucre et c'est reparti. On a pu courir beaucoup les derniers kilomètres.

 La troisième aux trousses

 Quand nous sommes repartis du ravitaillement E Grotelle ( Km 89 ), Philippe m'a annoncé :

" J'entends une voix de femme, je crois que la troisième arrive ". Je lui ai répondu :

" Ah ! non, pas à 25 Km de l'arrivée. Ce serait trop bête d'être restée deuxième tout le long et de se faire rattraper maintenant. "

" Je passe devant,  je mets une cadence et tu essaies de me suivre "  me dit Philippe.

Il met une cadence, je le suis. On arrive dans les bois avant de prendre la grosse côte. Il me fait :

" Elle est derrière, elle est derrière ! Je la vois. "

On accélère. Je repasse devant dans la côte. Il me dit :

" Vas-y si tu te sens en forme ".

Il était un tout petit peu moins bien comme il venait de mener la cadence sur le plat. Je repasse devant lui, je rejoins le groupe qui courait devant nous. On fait une ascension de folie, pensant qu'on avait toujours la troisième aux trousses. Et comme ça jusqu'à l'arrivée, on a accéléré persuadés que la troisième nous suivait.  

 Être 2ème, se faire dépasser à la fin, ce serait trop bête

 À l'arrivée, Nelly se rend compte qu'il y avait méprise. Croyant avoir été talonnée par la troisième, elle s'est rendu compte que la dame en question accompagnait un coureur sur la fin de la course mais n'était nullement concurrente. La troisième femme s'est présentée sur la ligne d'arrivée 3H36 après Nelly qui avoue avoir eu la trouille de se faire rattraper pendant les pendant 25 derniers Km !

" Sur le podium, j'aurais été contente quand même. D'autant que vu le niveau, je ne comptais guère faire mieux que dans les dix premières, dans les cinq c'eût été fabuleux, mais j'étais loin d'imaginer faire le podium.

Mais être deuxième toute la course et se faire dépasser juste à la fin, ce serait bête. Mais je donnais tellement tout que par moments je me disais " Si elle me dépasse maintenant, c'est qu'elle est vraiment meilleure. " Je ne pouvais pas aller plus vite. Les quatorze derniers Km, on les a faits super vite.  

Durant la course, je n'ai pas vraiment connu de galère. J'ai eu un peu mal à un genou à un certain moment. Je l'ai géré. Ça partait. Ça revenait.

 Reçus par des gens charmants à l'écoute du coureur

 Nous avons été encouragés tout le long, sauf dans quelques endroits reculés ou tout en haut des montagnes où aucun spectateur  ne se rendait. Mais il y a toujours des organisateurs, qui se placent à certains points. Des gens super sympas, de même que sur les ravitaillements.

Ils nous disaient : " Asseyez-vous. Dites-nous ce que vous voulez. Qu'est-ce qu'on met dans vos gourdes ?

Ils étaient vraiment tout le temps à l'écoute, tout le temps un mot gentil :

" Vous avez de quoi vous rafraîchir ? Vous n'avez besoin de rien ? Vous n'avez mal nulle part ? Vous voulez qu'on vous masse ?

Mangez ! N'hésitez pas. Prenez avec vous des choses, si vous n'avez pas faim tout de suite, vous pourrez les  manger plus tard. "

Tout le long ça a été comme ça. Et même aux enfants quand ils sont arrivés avec nous au ravitaillement, ils leur ont demandé ce qu'ils voulaient boire, ils leur ont proposé à manger disant qu'il y en avait pour tout le monde, pour les enfants aussi.

Vraiment super gentils, une ambiance extraordinaire. Ambiance petite famille, pas du tout comme certains ultra-trails où c'est l'usine. Là, nous avons vraiment été super bien reçus, des gens charmants, toujours à l'écoute du coureur, toujours soucieux de savoir si l'on va bien, si l'on a le sourire, si l'on ne manque de  rien.  Vraiment très très sympas. On a vraiment bien aimé.

Le lendemain, au moment du podium, j'ai été incroyablement gâtée. J'ai eu des cadeaux ! Je n'avais jamais vu ça. J'ai été récompensée pour être arrivée deuxième féminine mais aussi comme première vétérante. J'ai eu double dose de cadeaux. Des articles de marque. Vraiment très bien.

 On m'avait prévenue : la Restonica c'est vraiment pas facile

 J'avais participé à la Diagonale des Fous en 2012 ( 170 Km sur l'île de La Réunion ). C'était mon premier trail de plus de 100 Km. À l'époque, j'avais trouvé cette course vraiment très difficile, technique.

Aujourd'hui, je pense qu'au niveau technicité, la Corse c'est bien pire. La Restonica s'avère bien plus difficile. Que ce soient les montées, les descentes, c'est tout le temps de la caillasse : que des cailloux, que des cailloux, que des cailloux, tout le temps, petits et gros qui roulent, des gros blocs de pierre, tout le temps de la caillasse. Franchement, quand on n'est pas habitué, c'est difficile.

On m'avait prévenue. On m'avait dit " Tu verras, la Restonica c'est vraiment technique, pas facile, etc. ".

Mais tant qu'on ne l'a pas faite, on ne s'imagine pas du tout ce que ça peut être. D'ailleurs, les organisateurs préviennent les concurrents. On ne peut pas dire, quand on s'engage, qu'on n'était pas au courant.  Les organisateurs nous mettent au parfum. Ils avertissent : c'est très technique, c'est des cailloux, il faut vraiment avoir le pas montagnard. C'est franchement la course la plus difficile que j'aie jamais faite, question technicité.

 Question paysages, c'est fabuleux

 Je ne prévois pas de la refaire parce que je préfère découvrir d'autres choses. Il existe tellement des courses que ce serait dommage de refaire la même.

Question paysages, la Restonica, c'est fabuleux.

La Diagonale des Fous, ma sœur a envie d'y retourner. J'aurais envie de la refaire aussi pour mesurer comment j'ai évolué. Mais il y a tant de courses en d'autres endroits magiques que pour l'instant je préfère découvrir encore. Peut-être que plus tard j'aurais envie de

Nous, Philippe et moi, c'est notre but : pouvoir profiter, faire découvrir aux enfants des endroits comme ça. La Martinique qu'on n'a pas pu disputer l'an dernier, on a envie d'y retourner. On sait que ça va être fabuleux. Que c'est technique aussi, mais maintenant qu'on a fait la Corse, on se dit qu'on l'acceptera peut-être mieux. Ce n'est pas la même technicité. La Martinique, c'est plus le côté boueux, sableux qui la rend pénible, avec la chaleur humide.

Notre prochaine sortie, ce sera Les Templiers le 21 octobre. Philippe s'alignera sur le grand parcours, 100 Km. Je me suis inscrite sur le 38 Km, avec Nathalie et Christophe et Philippe Prost sera sur le 70 Km.

On commence à regarder ce qu'on pourra faire comme autre course. Mais, pour nous, un challenge comme ça par an, c'est suffisant.

 Chère lectrice, cher lecteur, cher tout court,

 Te voilà à l'arrivée de la Restonica, une course qu'on n'oublie pas. Mais sous peu, tu pourras la visiter d'un autre œil, celui de Philippe, mari, kiné et préparateur physique de l'ultra traileuse monistrolienne.

             Deux photos  en cliquant ICI

 

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RDV 9h30 au Beauvoir, 2 groupes
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