Pourtant ce ne sont pas des emplois fictifs, à la mode ces temps-ci. Les benjamin(e)s et minimes ont bel et bien travaillé dans trois ateliers lundi soir 20 mars premier jour du printemps. Toute l'affaire en détails...

Echauffement avant trois ateliers traversés par trois groupes.

Travaux d'appuis et de placement en course combinés au lancer de medecine ball. Pour corser l'affaire, s'ajoutent des plots, un disque, pas rayé et bien lancé, des haies ( malgré le printemps elles n'ont pas verdi ). On trouve même un matelas vertical ( pour coucher ceux qui ont écouté des histoires à dormir debout ? ), des cerceaux ( pour s'initier aux ronds de jambes ? ) un trépied ( ce n'est pas le pied, c'est trois fois mieux ), une corde ( pas vraiment sensible parce que même quand on tirait dessus elle ne disait rien ) et une rivière ( la pêche est ouverte depuis le 11 mars ). Etait-ce pour abaisser le niveau de la rivière que certain(e)s se sont mis aux pompes ? Ou parce qu'ils avaient passé le cap de Carnaval que certains se précipitaient sur le pas de tir ?

À cause d'adducteurs douloureux, Simon Petiot n'a pas pu partager le travail de ses coéquipiers. Il a officié au chronomètre dans l'atelier de Christophe.

Comme d'hab' un entraînement préparé sur papier millimétrique par Christophe Margerit et animé avec la complicité d'Estelle Granger et de Stéphane Fertin. Il ne restait plus qu'à appliquer les directives. Consignes à suivre donc...

                          PHOTOS DE CHOC