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Yolande Jerinte, vice-présidente de l'ACO Firminy, élue au Comité d'Athlétisme de la Loire est chargée de s'occuper des officiels et donc des formations. Présente à la Ligue Auvergne-Rhône-Alpes ( AURA ) elle est là aussi responsable des officiels.
Vendredi 31 mars elle est venue au château de Monistrol pour une session de formation de juges départementaux. Six parents d'athlètes de l'ACS Monistrol ont participé.
" La formation de ce vendredi 31 mars, explique Yolande Jerinte, s'adresse à des parents désireux de s'investir. Mon intervention sera donc plutôt générale. Nous allons parler de ce qu'est un juge, de son rôle sur le terrain et de ce qu'il ( ou elle ) peut apporter à un club. Cela dans le but de devenir juge départemental.
Pour devenir juge départemental, il faut d'abord
choisir une spécialité
courses, chrono, sauts, lancers. Si les futurs juges n'ont pas eu l'occasion de pratiquer sur le terrain il faut qu'ils fassent une journée pour voir ce qu'ils préfèrent et pour choisir. Ensuite, ils feront cinq journées sur le terrain* dans le domaine de leur choix. Si nécessaire, on pourra refaire une formation plus spécialisée. Ensuite, ils deviennent juges départementaux. "
* Assurer cinq journées sur le terrain cela veut dire se rendre à une compétition et s'occuper d'une discipline de leur choix. Des juges sont nécessaires pour la marche athlétique, le chronométrage, pour les courses, comme starter, anémométreur, pour les haies ( distances, hauteur et couleurs ), pour les sauts en longueur, hauteur, triple saut, perche, poids, marteau, disque, javelot ).
En quelques paroles, les six parents volontaires énoncent leurs motivations envers la formation et le club :
Jean-François Petiot de Valprivas : " J'ai déjà accompagné plusieurs compétitions. Je suis venu pour donner un coup de main à l'encadrement du club. Ils sont déjà bien occupés. En tant que parent, c'est essentiel de venir participer un peu aussi. "
Son fils depuis 4 ans au club s'y plaît bien et s'y est fait des copains.
Carine Chaussinand de La Chapelle d'Aurec : " J'ai déjà fait trois journées de terrain. Il m'en manque deux pour valider. Être juge c'est prenant mais c'est accompagner aussi ses enfants, les voir évoluer. Et c'est aussi pour le club, vu l'investissement de Christophe et de tout le monde autour, j'ai envie de leur donner un coup de main et d'être à leurs côtés pour les soutenir. Ma fille est au club depuis deux ans. Elle aime bien, ça se passe bien. Elle retrouve ses copines et elle évolue. "
Florence Agueras : Elle a deux enfants au club et une certaine expérience du terrain avec déjà quatre compétitions au compteur dont une cette année qui sera prise en compte pour la validation de son titre de juge. Au travers de ses enfants, Florence porte un intérêt à l'athlétisme qu'elle n'a pourtant jamais pratiqué et assiste parfois à l'entraînement des petits.
" J'adore ce club, explique-t-elle dans un grand sourire, les entraîneurs sont bienveillants avec les enfants, c'est très bien organisé. Tout est bien. "
Carine Daemen : Elle aussi a déjà jugé en compétition, trois fois l'an dernier et deux cette année. Elle souhaite ainsi se rendre utile pour le club. " Le club, je le vis super bien. L'encadrement est génial. Je crois que c'est ce qui donne envie de rester. C'est l'encadrement. "
Rémy Guicherd de La Chapelle d'Aurec : fort de deux ou trois présences en compétition cette saison, il participe à cette réunion de formation théorique pour être confirmé comme juge départemental. Père d'une athlète, il estime que " il faut des juges pour que les enfants puissent disputer des compétitions. Sans juges, ils ne pourraient pas en faire. Dans le cadre de l'ACSM c'est bien d'avoir des personnes qui s'occupent de cette partie là pour que le club puisse continuer à présenter des enfants sur les différentes compétitions. Le club est sur une bonne dynamique qui ne demande qu'à être renforcée avec tous ces enfants et toutes ces catégories puisqu'il y a de plus en plus de jeunes, des moins jeunes, minimes et au dessus. C'est très bien. Je pense qu'existe une certaine dynamique aussi où les parents sont impliqués, justement parce qu'on est assez nombreux à cette formation ce soir.
Ruth Brenchley : a déjà été juge une demi-douzaine de fois en trois saisons.
" Il faut aider le club. Il faut des bénévoles. Mon fils apprécie beaucoup les entraîneurs, les entraînements, et surtout le stage auquel il va participer cette année. Je trouve le club très sympa avec une très bonne ambiance. J'apprécie beaucoup les entraîneurs. "
À la fin de la réunion, le livret de formation des officiels de la Ligue AURA a été remis au six participants.
Ce livret rappelle notamment que
" pour qu'une compétition puisse se dérouler dans les meilleurs conditions, il faut impérativement des officiels qualifiés dans l'ensemble des spécialités figurant au programme. Sans officiels sur une compétition, pas de validation des performances. Les différentes qualifications :
· Juge départemental
· Juge régional
· Juge fédéral
Parmi les principes de bases, avoir du bon sens, des réactions rapides, rester calme, agir de façon décidée, bine connaître les règlements et leur application, sa place à tenir et avoir comme idée maîtresse l'équité entre les athlètes. "
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