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Stéphane Assié, David Rascle et Samuel Intilla ont accompagné une délégation de lanceurs et sprinteurs au meeting du samedi 9 décembre salle Diagana à La Duchère, banlieue Lyonnaise.
Cette réunion de l'après-midi a débuté dès 13H30 par le lancer de poids.
11,98 m pour Samuel Intilla, 10, 40 m pour Stéphane Assié et 7,60 m pour Lucas Granger.
Samuel et Stéphane espéraient peut-être mieux. Cependant, la saison débute et ils auront d'autres occasions de se rapprocher de leurs objectifs et même de les atteindre. D'ores et déjà, première chose importante, ils marquent des points pour le club.
Stéphane explique n'avoir pas super bien commencé le concours avec un jet qui dépassait les 8 mètres.
" Je n'étais pas bien positionné. Je n'étais pas bien. Après j'ai fait 10,40 m pour 10,42 m la dernière fois. Je ne suis pas déçu, déçu, mais je pensais quand même faire mieux aujourd'hui. Pour Lucas, c'était nouveau. "
Lucas n'avait aucune référence car il n'avait jamais lancé en concours.
Ensuite, chez les sprinteurs on a vu de bonnes performances, des records personnels battus. Malgré tout, Stéphane pointe une zone d'amélioration évidente pour lui :
" Dans l'ensemble; les départs, c'est pas ça. De mauvais départs, des départs pas très fulgurants dans l'ensemble. Leurs chronos sont bien, mais les cinq ou six premiers mètres sont à travailler. "
Sur 60 mètres
Tom Fertin 7"55 ( il améliore son temps précédent de 2/100èmes
Quentin Vachet 7"77
Mathieu Rascle 7"84 à sa première compétition.
Lucas Nebinger qui n'avait pas de 60 m à son actif depuis deux ans suite à une blessure fait7"93.
Lucas Granger 7"74 avec " un départ plus que pourri sur les dix premiers mètres " souligne Stéphane.
Mattéo Granger 8"10.
" C'était son dernier 60 mètres. Il va monter sur 400 m. Je crois qu'il stresse, et le 60 m n'est pas sa distance. J'aurais voulu entendre les sept secondes et quelques pour lui parce que je pense qu'il pourrait les faire. Il devra aussi progresser en sprint pur pour progresser aussi sur 400 m. C'est peut-être ne erreur d'avoir insisté pour qu'il persiste sur 60 m. De toute manière, c'était sa dernière. Il court aussi le 200 m. Après, il monte sur 400 m le 6 janvier 2018. Je pense qu'il aura les dents longues pour le 400 m du 6 janvier pour le meeting Drôme-Ardèche-Loire.
Chez les filles, Emilie Rascle, je n'ai pas vu son chrono. Eléa Souchière, 9"37, c'était sa première. Elle n'a pas fait un super départ, n'était pas non plus très bien positionnée. "
Stéphane reste indulgent :
" C'est sa première année aussi, malgré tout. Elisa Tenca avec 8"64 n'améliore pas son chrono. "
Petite précision: Elisa est étudiante en lycée prépa. Un parcours scolaire gourmand en énergie et en implication. Le sprint doit se contenter de l'influx restant.
Chanel Giraud est créditée de 8"82, mais étudiante à Langogne, elle ne peut plus s'entraîner. Là aussi, Stéphane relativise :
" C'est pas mal, sans entraînement. "
En 29"01 sur 200 mètres Clémence Ville améliore son chrono de 5/10èmes. Chanel Giraud qui était en 29" a mis 30 ", là aussi, faute d'entraînement.
Que manque -t-il aux athlètes pour franchir le petit pas en avant vers la progression ?
Stéphane pointe de nouveau les départs de course :
" Il leur manque un peu plus d'assurance sur le départ" starts " et les 15 à 20 premiers mètres. "
Le coach du sprint se montre toutefois optimiste.
" Ils vont descendre. Là c'est leur deuxième sortie. À la première, ils étaient sevrés de compétition. Tout de suite on se met dedans parce qu'on avait envie de la faire. Cette fois, ils confirment leurs perfs. C'est vrai que j'aurais préféré entendre les chronos descendre, mais c'est bien. Ça confirme. C'est déjà pas mal. "
Raisonnablement, on ne peut pas non plus espérer que les chronos s'améliorent à chaque compétition.
" Je pense qu'il faudrait qu'il faudrait que les temps s'améliorent un peu quand arriveront les Pré-Régionaux. "
Stéphane pense-t-il travailler davantage les départs dans les semaines à venir ?
" Ça va être compliqué. Il fait frais. Et c'est compliqué de travailler tout en puissance sur Monistrol. On n'a pas de grosses structures adaptées. L'objectif, ce n'est pas de se faire mal non plus. Il faudrait pouvoir travailler dans un gymnase. "
C'est ainsi que parfois les athlètes travaillent dans le couloir supérieur du gymnase au Mazel ( voir les photos de l'article récemment publié sur notre site " On lance, on sprinte et on compte jusqu'à dix " ).
Mais, précise Stéphane,
" Quand on est deux ou trois ça va. Quand on est 15, c'est beaucoup plus compliqué. S'ils sont peu nombreux, ils peuvent le faire parce qu'ils n'attendent pas trop. C'est gonflant pour eux d'attendre. "
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