Pierre Gardet président du Coquelicot 42 club organisateur de l'ekiden de Saint-Etienne parle l'édition 2018, la troisième.

Cette 3ème édition, en quoi est-elle différente des précédentes ?

On essaie toujours de mettre plus de fête autour de la course. Sur la course on a 120 équipes, c'est comme l'année dernière. Ce qui est important pour nous c'est que les gens qui attendent ou qui ont des enfants puissent jouer. Donc il y a beaucoup plus d'animations sur le terrain.

La nouveauté quand même c'est un écran géant. On a mis une caméra au technopole, donc à deux kilomètres et demi, pour qu les gens qui restent dans le stade puissent voir leurs collègues courir.

L'ekiden n'est toujours pas qualificatif. Pour quelle raison ?

La labellisation nous impose d'avoir au moins deux ans de suite le même parcours. Or depuis deux ans, entre les travaux de la troisième ligne de tram, on doit bouger de quelques rues. Ce n'est pas grand chose mais c'est un parcours modifié. Donc pas encore labellisable. On va essayer de le labelliser pour 2019 parce qu'en 2019 ce sera le centenaire du club et que pour les 100 ans on aimerait bien avoir une course labellisable pour le championnat de France.