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Le stage a compté plus de monde que l'an dernier, jusqu'à 68 personnes. Président du club et entraîneur du demi-fond, Franck Teyssier parle du stage et des interclubs à venir.
Quelles différences marquent ce stage 2018 en comparaison des deux précédents ?
" Le stage 2018 est resté dans la continuité de ce qu'on a vécu l'année dernière.
La première différence c'est l'effectif. Nous sommes encore un peu plus nombreux cette année. Nous avons un groupe des marcheurs nordiques qui a bien vendu l'année 2017. Du coup ils étaient un peu plus nombreux cette année. Ils s'y sont d'ailleurs bien retrouvés car ils ont pu exploiter au maximum le potentiel du site et faire de nouvelles balades sur la base de ce qu'ils avaient découvert l'année dernière.
Le demi-fond est monté en charge de travail et a rencontré moins de chenilles
En demi-fond nous avons eu un petit peu moins de monde parce que les plus jeunes étaient en vacances avec leurs parents. Mais le groupe présent qui s'est associé au groupe hors stade a permis de créer également une bonne dynamique au niveau du demi-fond. La différence c'est sans doute que cette année le demi-fond est monté en charge de travail. L'an dernier ils avaient plus de phases de repos. Cette année j'ai exploité la totalité des créneaux : il y a eu systématiquement du biquotidien, dimanche, lundi et mardi. Samedi nous avions démarré par un très beau fartlek.
Autre point à noter pour le demi-fond : cette année il y avait beaucoup moins de chenilles. Ce n'est pas rien. Cela nous a vraiment permis de profiter du plateau sur les Causses. L'an dernier nous avions quelque peu eu cette désillusion.
Ce qui aurait pu être une désillusion c'est le temps puisque l'on a démarré sous la pluie alors que l'an dernier, nous avions un grand soleil. Cette pluie du samedi a rapidement disparu au profit d'un grand beau temps tous les jours, comme à l'heure où je parle ( NDLR : mardi 17 avril en fin de matinée ), sous un soleil magnifique. "
Aux interclubs il y a matière à aller chercher un score bien meilleur qu'en 2017
Est-ce que l'équipe de demi-fond et l'équipe entière du club seront prêtes pour les interclubs et est-ce que de 17 mille points l'an dernier on peut espérer passer à 20 mille points ?
Entre 17 et 20 mille il y a quand même un " gap ". Trois mille points ce n'est pas rien. De manière certaine, au niveau du demi-fond chacun(e) va progresser et va marquer plus de points. J'en suis convaincu. Avec ce que j'ai vu ce matin sur la piste, c'est indéniable.
Pour ce qui concerne les sprinteurs, j'ai aussi vu de belles choses sur les relais. Ils sont déjà bien. Sachant qu'il nous manque Lucas Granger et Tom Fertin. Tom est en stage avec le Comité d'Athlétisme de la Loire. Cela veut dire que forcément ça ira plus vite. Donc, oui, la réponse très clairement est que nous avons le potentiel pou faire mieux. Malgré tout, on n'est jamais à l'abri d'un zéro sur une épreuve. Mais je n'ai pas de doute, cette année on a vraiment matière à aller chercher un score bien meilleur.
Millau fait l'unanimité, mais pas d'accès au stade deux jours sur quatre c'est limitant
Pour le stage 2019, faudra-t-il prévoir deux bus pour transporter tout le monde et reviendra-t-on à Millau ?
" Millau fait visiblement l'unanimité. La question qui se posera comme chaque année, c'est l'accès aux infrastructures. Pour le demi-fond ça n'a pas été pénalisant parce qu'un coureur peut s'accommoder de tout en hors stade.
Pour les sprinteurs et les plus jeunes c'est quand même compliqué. Ne pas accéder au stade deux jours sur quatre c'est très limitant. Il faudrait réellement que l'on puisse trouver une formule qui leur permette d'avoir cet accès au stade. Ce sera la contrainte. Il va falloir s'en occuper très rapidement. Si l'on peut trouver un autre lieu qui nous permette d'avoir accès au stade quatre jours sur quatre, ça mérite réflexion. À part ce problème là, aussi bien au niveau du logement, de la proximité du stade et du camping que de le nouvelle équipe qui gère le camping, les repas, il n'y a rien à redire.
Le temps, c'est la loterie.
Quand le bureau se réunit, nous cherchons plutôt des logements dans le sud de la France parce qu'en cette période de l'année on a la probabilité d'avoir un meilleur climat. Mais en réalité, cette semaine et la semaine dernière c'est vraiment dans le sud-sud que le temps était le plus médiocre. Ils ont eu beaucoup de pluie. Là-bas aussi c'est un peu la loterie.
Géographiquement, Millau s'y prête parfaitement bien. "
En conclusion...
" Ce stage a été une très très belle expérience, de
bons moments de partage. J'ai vraiment le sentiment que tout le monde s'y est
retrouvé. J'ai trouvé beaucoup de bonne ambiance. Chez les plus jeunes, le
groupe à Christophe Margerit et Estelle Granger, ils font quasiment du
tri-quotidien : il s'entraînent le matin, ils s'entraînent l'après-midi. ils
passent le reste de la journée sur les trampolines et les airs de jeux. Ça vaut
bien un travail supplémentaire. Les jeunes sont très bien. On sent de
l'éducation derrière. Ambiance bon enfant chez les adultes comme chez les plus
jeunes. "
PHOTOS DU DERNIER JOUR DE STAGE
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