Chez les plus jeunes, parfois on tire la langue, on ferme les yeux, on fronce les sourcils. C'est l'effort, le goût du mieux, avant le plaisir de savoir que l'on a appris ou que l'on saura bientôt.

Tiens, par exemple,

chère lectrice, cher lecteur, cher tout court,

le saut à la corde. Pour les filles, c'est un sans faute. Chez les garçons ça s'habille moins d'évidence mais tu peux remarquer cependant comme certains se débrouillent bien.

C'est qu'ils auraient une grande sœur ?

Waow ! le sexisme...

Tout le monde a du talent, plus ou moins et pour certains exercices plus que pour d'autres. À part quelques sujets exceptionnellement doués pour tout ( malgré tout plein de failles ailleurs ), chacun(e) se débrouille avec ce qu'elle ou il a reçu de Mère Nature et travaille à s'améliorer. Beaucoup arrive par le travail. En athlé cela s'appelle l'entraînement. Et son corolaire, l'assiduité.

C'est par leur travail que nos jeunes pousses vont rejoindre leurs aînés dans quelques temps et parfois les dépasser.

C'est ainsi

chère lectrice, cher lecteur, cher tout court,

que s'améliorent les records, du club en premier, à d'autres niveaux plus élevés parfois.

Les plus jeunes travaillent tout en s'amusant. Les instantanés de la photo figent ces fractions de secondes qui nous échappent parfois à vitesse réelle.

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