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Hélène Massardier : pour dépanner
Hélène s'est licenciée au printemps 2019. Mais pourquoi en cours de saison et pas à la rentrée comme beaucoup ?
En fait, je me suis licenciée pour dépanner une équipe aux ekidens. J'avais déjà pratiqué un peu la course à pied, mais à mon niveau, tout doucement. Je joue au tennis également.
De la course j'en fais depuis 20 ans, mais pas de manière régulière. J'ai fait des trails.
Ce qui me plaît dans la course ? C'est un sport que l'on pratique tous en famille, donc c'est le plaisir d'être tous ensemble. Mais je suis... bien derrière tout le monde.
Tu t'es raccrochée au wagon de la famille ?
C'est ça. J'essaie de tenir le wagon.
En famille, l'athlé c'est le sujet de tous les jours. Surtout avec Lucas qui le vit à 100%.
Vous courez en famille ?
Comme il est gentil, mon fils vient de temps en temps courir avec moi. Avec mon mari c'est plus dur parce qu'il est bien devant. Il a du mal à se mettre à mon niveau. Mais il essaie. Ce matin par exemple.
Du club, on en parle beaucoup. Je pense que c'est un beau club qui à mon avis mérite encore de grossir. Avec la nouvelle piste...
C'est un sujet qu'on aborde tous les jours. Le club je
crois qu'il ne se passe pas une journée sans qu'on en parle et qu'on regarde le
site avec les articles rédigés, les photos et tout ça.
Cédric Massardier : depuis 37 ans
J'ai commencé à
courir à l'âge de 10 ans. Cela fait 37 ans. J'étais licencié à l'AC Ondaine au
tout début. Auparavant j'ai fait un peu de judo mais ça ne me plaisait que
moyennement. J'en ai de petits souvenirs mais très lointains. Je baigne dans la
course à pied depuis très très longtemps.
Le goût de l'effort
Tu n'as jamais joué au foot comme tout le monde ?
Ah ! non. S'il y a un sport que j'apprécie bien moyennement, c'est le foot.
J'ai toujours aimé le goût à l'effort et en athlétisme on aime bien se mettre bien dans le rouge. Depuis que Lucas a adhéré à l'athlétisme par le biais du club de Monistrol, ça m'a fait reprendre une licence et me remettre à des épreuves auxquelles je ne participais plus tels des 10 kilomètres ou l'ekiden. J'étais plus un traileur à la base et je me remets à faire un peu de vitesse.
L'athlé, en famille on en parle tous les jours. C'est le sujet numéro un avec Lucas qui arrive à faire de belles performances...
L'entraînement
J'arrive à m'entraîner avec Lucas et je fais des entraînements avec le club. Lucas est loin devant. On fait les mêmes séances mais pas à la même vitesse !
On arrive à courir tous en famille. C'est sympa. Et j'ai la chance de pouvoir courir quand je travaille. Au boulot je cours avec beaucoup de collègues de travail et d'autres collègues qui participent à des courses à droite et à gauche. L'athlétisme baigne dans mon sang depuis de longues années.
La place de l'ACSM pour toi ?
Je ne pensais pas reprendre de licence un jour. Ma dernière licence c'était celle avec l'ACO à l'époque où j'habitais Firminy. Vu que Lucas en fait à fond, c'est vraiment génial, ça me donne bien le goût de continuer à être licencié et de vivre ce groupe de l'ACSM qui est super sympa.
Qui s'est licencié en premier le père ou le fils ?
C'est Lucas et après j'ai suivi. L'ACSM, c'est un super
club qui va grandir.
Lucas Massardier : le dépassement de soi
J'ai pratiqué le basket pendant 10 ans. Mais je voyais que le basket ça me plaisait de moins en moins. Je faisais déjà des trails. Je me suis dit pourquoi pas me perfectionner en venant à l'athlétisme.
Mon père courait, je trouvais ça bien. Les petites courses par ci par là dans la région, je les faisais sans m'entraîner. Je faisais une course un week-end. Le week-end après j'en faisais une autre mais sans entraînement. Donc c'était pas vraiment super bien.
J'ai commencé en cadets 1 à quinze ans.
Lucas est arrivé en cours de saison il y a 3 ans après la saison de cross. Il aurait pu s'adonner à un autre sport.
Dans l'athlé, j'aime bien le dépassement de soi, j'aime bien vraiment aller au bout de moi-même. Dans toutes les courses je me donne à 100% et c'est quelque chose que j'aime bien.
Pendant la course, quand tu es à fond, qu'est-ce qui se passe dans ta tête ?
Je ne sais pas vraiment. Il faut débrancher le cerveau parfois parce que c'est tellement dur... sur des efforts comme le 800 mètres qui n'est pas du tout ma spécialité. Quand tu as fait un tour et que tu sais qu'il t'en reste un et que tu es déjà complètement mort...C'est .... c'est beaucoup le mental je pense. Je me donne à fond dans toutes les compétitions que je fais. Pour être fort en athlétisme il faut se donner à fond tout le temps sinon les progrès ne sont pas réels.
L'athlé en famille ?
Souvent mon père et ma mère me demandent comment s'est passée la compétition. Maintenant que mon père est au club il veut faire les 10 kilomètres sur route et se qualifier pour les France.
On parle souvent sport à la maison.
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