Première au Mazel pour les plus jeunes

Christophe Margerit commente l'entraînement du groupe des Poussin(e)s (né(e)s de 2010 à 2011) et École d'Athlétisme (né(e)s de 2012 à 2014) qui pour la première fois, vendredi 4 décembre, ne se sont pas retrouvés dans le gymnase et au stade du Monteil mais exclusivement en extérieur sur le stade d'athlétisme du Mazel.

On ne peut pas aller dans les gymnases

Jusque là nous étions au Monteil avec un groupe dans le gymnase et un groupe dehors sur le terrain en stabilisé.

L'occasion d'être sur un vrai stade

Comme nous avons obligation d'être tous dehors au moins pour 15 jours, sur les trois semaines d'entraînement restant, en fait deux séances sur trois, nous nous sommes dit que c'était l'occasion d'aller sur un vrai stade. Et ça évitait aussi de patauger dans la gadoue au Monteil. C'est pourquoi on les a emmenés au Mazel. C'est la première fois que les petits venaient s'entraîner là-haut (NDLR : sur le stade d'athlé avec la piste synthétique).

Le stade, un écrin qui brille

La première chose c'est que sur 44 possibles ils étaient 35. Quelques parents sont restés au Monteil où ils nous ont cherchés. Donc, on a quasiment fait le plein.

Les petits étaient contents en voyant le stade. D'autant plus que le stade, une fois éclairé, ça donne une ambiance particulière, avec le ciel noir autour, ça fait vraiment un écrin qui brille. Les enfants étaient tous impressionnés. La première chose qu'ils ont voulu faire, c'est un tour de stade en courant.

Ils ont fait leur petit tour et après on a organisé quatre ateliers répartis entre quatre groupes.

Les quatre groupes sont passés sur les quatre ateliers

Il y avait du lancer de vortex en précision, du saut en longueur, un petit parcours chronométré avec des haies et un autre parcours, un peu comme au biathlon, de la course en relais, avec au bout du parcours un lancer. C'est un lancer de vortex avec une cible au sol.  Le lancer est réussi quand on atteint la cible. Si le lancer est réussi, le suivant peut s'avancer un petit peu pour prendre le relais.

En échauffement on a fait une course au bouchon sur la pelouse. De la marche et de la course.

Les petits sont toujours enthousiastes

La séance d'entraînement a duré une heure et demie.

Les petits sont toujours enthousiastes. Il ne faisait pas très chaud vendredi mais ils étaient tous très contents. Je les ai sentis toujours enthousiastes.

Quand on leur propose quelque chose, les petits sont toujours partants. Ils avaient l'air content.

Les autres groupes viennent toujours. Lundi 7 décembre par exemple, les lanceurs, le groupe de demi-fond, les sprinteurs... c'était bien animé.