GARDER L'ENVIE POUR 2021 ET S'ÉPANOUIR

Ce que je souhaite à tous, c'est de retrouver un cadre de pratique qui soit le cadre normal. C'est-à-dire que l'on finisse par avoir tout ce qui est lié à cette pandémie derrière nous. C'est le mieux que je puisse leur souhaiter, au-delà de parler de performances, c'est retrouver des conditions de pratique normale. Et ce sera déjà un grand pas. On sait que c'est quasiment un vœu pieux pour les deux ou trois premiers mois de l'année, mais n'oublions pas qu'une année c'est douze mois et pas simplement trois mois.

Faire preuve de patience

Essayons de voir un peu plus loin. C'est de garder l'envie, c'est de garder la motivation. D'accepter de faire preuve de patience. D'abnégation parfois. Ce n'est rigolo pour personne ces phases de confinement. Tourner autour de la maison dans un rayon de un kilomètre, ce n'est pas grand-chose mais c'est mieux que rien. Commençons par essayer d'optimiser au maximum en fonction de ce qu'il est possible de faire, si on doit revenir vers ce niveau de contraintes, ce que je ne souhaite à personne.

S'épanouir au sein de la structure

Par là j'entends le collectif et cela est vrai pour l'ensemble des groupes, que l'on parle des marcheurs, des coureurs, des épreuves combinées, des sprinteurs, des jeunes catégories, dans le respect, évidemment, des gestes barrière.

Aujourd'hui c'est le cas. La reprise de l'activité marche nordique au stade fonctionne bien.

Les jeunes très présents

 On sent qu'il y a une envie, une demande, une attente.

Dans les jeunes catégories il n'y a pas de désistement. Ils sont très présents et jouent bien le jeu.

Pendant les vacances scolaires Christophe Margerit a organisé des regroupements, des entraînements avec ses jeunes et le fameux Défi Run.

Ils répondent présent. On voit bien qu'il ya une attente, une envie. Et le collectif pour ça est vraiment fondamental.

Au niveau du demi-fond, que je vois au quotidien, la demande est toujours très présent, l'ambiance très bonne.

On ne sent pas de démotivation, pas de découragement.

Le paradoxe de 2020

En faisant le bilan 2020 paradoxalement, les demi-fondeurs et hors stade ont tous, très largement augmenté leur kilométrage parce qu'on s'est retrouvé dans des conditions où, finalement, on a eu plus de temps disponible pour notre pratique.

Ça peu paraître paradoxal, mais c'est une réalité. Ça montre deux choses :

1 Les gens n'ont pas baissé les bras.

2 Malgré un rythme complètement chamboulé, chacun a gardé cette envie.

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