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Au vu de certaines photos on
peut constater qu'il faisait un temps de chien. Possible ! Mais pas un temps à
ne pas mettre deux athlètes dehors. Anaïs et Lucie n'ont pas eu peur de la
neige en ce samedi matin d'hiver. Elles ont sorti du placard leurs chaussures de trail et se sont lancées
dans la neige. D'abord au plat, le long des étangs de Bas. Une vraie patinoire
pour cette partie d'échauffement.
Le camping silencieux
Puis Rochebaron, Montméat et retour aux abords du camping, totalement silencieux jusqu'à son ouverture le 10 avril prochain. Une belle boucle blanche de 12,5 kilomètres.
Lucie raconte leur belle partie de glissades :
Au départ, la partie d'échauffement aux étangs de Bas, une vraie patinoire. Il fallait être plutôt prudent. Ensuite, quand on a attaqué la montée de Thézenac, c'était surtout de la neige. C'était moins glissant, ça accrochait un peu plus. Les chemins étaient quand même bien enneigés.
Un invité indésirable
Pas de vent, donc, heureusement, pas de congères. Mais un invité pas vraiment désirable :
Une fois arrivées à Thézenac, un brouillard pas possible. On ne voyait pas à deux mètres.
Sur ces hauteurs neigeuses, on ne se disputait pas le
terrain avec d'autres sur une couche blanche de cinq à dix centimètres.
Un pêcheur courageux
Nous étions les seules. On n'a pas croisé une voiture. Seulement un courageux pêcheur au bord de l'étang. Je ne sais pas comment il faisait !
Mais c'est tout…
Des parties de l'étang sont gelées… On voyait que cela faisait une légère épaisseur de glace.
Dessin du site Dreamstime
Tenue obligée pour circonstances frigorifiantes
J'avais la totale : un maillot
thermique avec les gants, tour de cou, cache-oreilles et chaussures de trail. Les
chaussures ont de bons crampons pour accrocher. Une fois dans la montée, ça ne glissait
pas. Ça accrochait bien dans la neige. Mais pour le verglas on ne peut rien
faire. Il faut aller doucement.
C'était très joli
À la descente ça accrochait bien mais comme c'était plein de neige, il fallait faire doucement parce qu'on ne voyait pas et que c'étaient racines, cailloux, etc. Donc nous sommes restées prudentes et nous avons été plutôt tranquillement pour redescendre.
Et c'était très joli. Les arbres étaient givrés. Nous étions " seules au monde… ". C'était largement courable, il n'y avait pas trente centimètres.
Au retour…
Nous sommes remontées directement dans les voitures sans s'étirer, histoire de se mettre au chaud, de changer de tenue. Les étirements se feront plus tard dans l'après-midi ou le soir à la maison.
Mais à la voiture, on trouve les vitres gelées et de la
buée au pare-brise. Une formalité indispensable mais peu réchauffante dont il
faut s'acquitter avant de démarrer sur des sièges bien frais : dégager la vue pour conduire en sécurité !
PHOTOS transmises par Lucie Escudéro
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