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Un palmarès bien étoffé, en France et à l'étranger… C'est ce que l'on découvre dans l'histoire de Jean-Claude Louison.
Gagner par équipe, c’était sympa
Avec l'ASPTT Lyon, nous nous étions classés troisièmes par équipe au championnat de France de cross à Laval. Nous avions été à la bagarre toute la course avec l'équipe de Montpellier. Troisième par équipe, ça avait été une belle satisfaction parce qu'il fallait une belle équipe, assez homogène, pour se hisser sur le podium de cette épreuve. C'était l'aspect humain de la course à pied, l'effort individuel mais aussi le côté collectif qui importait. Gagner par équipe, c'est sympa.
Premier titre de champion de la Loire
Mais son palmarès ne s'arrête pas là. Il n'est pas possible d'égrener les innombrables compétitions où le coureur ligérien s'est distingué. Citons encore une deuxième place au marathon de Nouméa et une cinquième place sur un 10 Km à Sydney. Son meilleur souvenir demeure son titre de champion de France du 25 Km en 1986 à Moussy-le-Neuf, victoire obtenue…
à l'issue d'une belle course avec un beau peloton. Il fallait être là au bon moment. J'avais bien géré cette course, je m'étais détaché dans les deux derniers kilomètres.
Parmi mes autres très bons souvenirs, mon premier titre de champion de la Loire, à Saint-Chamond dans les années 1980. Ça peut sembler anodin, mais ça a été graduel, champion de la Loire de cross, puis champion du Lyonnais en cross et sur piste, puis champion de France.
La course à pied m’a permis de sortir de chez moi
Ma plus grande déception en compétition, ça a été un abandon au championnat de la Loire de cross, sans doute en 1976, au Parc des Bruneaux à Firminy. J'étais jeune senior et avec la fougue de la jeunesse, je m'étais un peu laissé emporter dans les premiers kilomètres. Ça avait été très très dur de ne pas pouvoir terminer. S'est ajoutée la déception de se voir délaissé plus ou moins par tout le monde. Ça m'avait beaucoup déçu et je me suis promis de ne plus jamais abandonner parce que c'est trop difficile.
La course à pied m'a permis de sortir de chez moi, elle
m'a apporté le goût d'aller vers les autres.
S'ouvrir aux autres
Jean-Claude l'affirme :
Faire partie, en quelque sorte, d'une communauté, rencontrer des gens, s'ouvrir aux autres et à d'autres choses inhabituelles m'ont apporté beaucoup de satisfactions. Je n'aurais certainement pas vécu tout cela si j'étais devenu agriculteur.
À SUIVRE…
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