Première expérience Pour Yann Reymond sur l'ekiden dimanche 25 mars à Saint-Etienne, sur et autour d'un stade Henri Lux qui sera rénové à partir de cet été. Il sera reconditionné pour accueillir des compétitions internationales et pourra même homologuer les records du monde si certains venaient à être battus.

J'ai eu un gros coup de barre

Donc, cette course hors stade part du stade, passe ses relais dans le stade et s'achève sur le stade.

" C'est super sympa parce que c'est une course d'équipe. Mais c'est très dur parce que l'allure, ça pique !

Jusqu'au 6ème kilomètre ça allait plutôt bien pour moi. Puis du 6ème au 7ème et 8ème j'ai eu un gros coup de barre avec une sorte de petit point de côté. J'ai réussi à relancer un petit peu dans les deux derniers kilomètres. Je suis quand même resté régulier parce qu'au tout début j'étais en 3'20/Km et à la fin en 3'41-3'42/Km. Ça reste assez régulier. Je suis quand même bien content.

Mon meilleur temps c'était le dernier 10 Km que j'ai couru à Vénissieux, j'avais mis 38 minutes. Aujourd'hui 36'27. Vénissieux c'était il y a trois ou quatre ans. Heureusement que l'amélioration est là.

Je voulais faire en dessous des 36 minutes. Je n'en suis qu'à 27 secondes. Je considère que ce n'est pas trop trop mal.

Comment se passe le relais ?

Déjà on a une bonne visibilité pour voir notre relayeur. Il arrive, il nous tend le petit bracelet qu'on se met au poignet.

La tentation en course de relais c'est de vouloir forcer l'allure dès le départ pour tenter de revenir sur le concurrent précédent.

Quand j'ai pris le relais les écarts étaient déjà bien faits. Je pense que j'avais quasiment une minute de retard sur l'équipe d'avant. J'ai essayé de partir à mon allure pour ne pas trop me cramer. "