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Certaines personnes avancent parfois masquées dans la vie. Mais à l'entraînement, ce n'était pas la coutume.
Nécessité coronavirale oblige, nos entraîneurs ont revêtu le petit bout de tissu réglementaire pour parler aux jeunes.
C’est la première fois qu’ils se retrouvaient après le long épisode de confinement dû au coronavirus : 4 Entraîneurs ont animé le 1er entraînement d’une dizaine de Benjamin(e)s-Minimes au stade du Mazel :
Stéphane Fertin, Estelle Granger, Franck Manissol, Christophe Margerit.
Un 5ème entraîneur, Samuel Intilla, a fait travailler deux lanceuses.
De l’intérieur du stade Christophe Margerit est allé ouvrir pour que les jeunes entrent. Au travers des barreaux du portail, ils apparaissaient un peu comme des prisonniers que l’on libère.
Ça fait plaisir de se revoir !
Christophe a salué ces retrouvailles…
Ça me fait bien plaisir de vous revoir. Ça fait du bien de se retrouver tous. Le virus est toujours là. On se met à 2 mètres les uns des autres. Quand on court, la distance c’est 10 mètres parce que quand on court on est essoufflé et l’on projette des postillons. Il faut essayer d’y penser régulièrement. Vous vous répartirez en deux groupes de cinq.
…puis donné des instructions pour appliquer les mesures de distanciation aux exercices athlétiques.
Vous passerez un par un sur les ateliers. On a disposé des petits plots tous les deux mètres. Ce n’est pas très fun mais on n’a pas le choix. Il faut s’y plier jusqu’en septembre. On va reprendre ce qu’on avait fait cette année.
Vous ne toucherez aucun engin
Vous ne toucherez aucun engin. Pour le disque, vous avez un engin personnel. À la fin, tous les disques seront plongés dans la javel.
Deux tours d’échauffement pendant lesquels Louis et Anna donnent le tempo.
Franck Manissol poursuit l’échauffement de son groupe où l’on fait des monters de genoux, des talons-fesses, etc.
La dizaine de jeunes est divisée en un atelier de lancers t un atelier de courses.
Lanceuses : des exercices d’échauffement pour voir d’où l’on part
Du côté de chez Samuel Intilla, les lanceuses se remettent aussi au travail.
Elles se livrent à quelques exercices d’échauffement.
C’est pour voir d’où l’on part, explique Samuel Intilla, déceler les points faibles et travailler dessus.
Le matériel est limité. Comme il n’y a pas d’échéance précise, on va se concentrer sur le lancer et se faire plaisir.
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