D'anciens champions " participent " encore aux compétitions, mais désormais en spectateurs. Sur ce site, il a déjà été question de Pierre Tousssaint, Jean-Claude Louison, Mohamed Youkmane.

Aux championnats pré-régionaux Loire et Volcans, on a pu reconnaître Jean-Jacques Padel.

On retrouve son nom au palmarès des marathons de Londres, Nice, Bordeaux, Huy (Belgique), Fort-de-France, Boston, Douala, Chicago, Séoul, Lille, Hiroshima, New-York, Marseille (champion de France 1987) , Aix-les-Bains.

Il retrace sa carrière...

Comment es-tu venu à la course à pied et peux-tu parler de ta carrière, ton palmarès?

Quand on parlait de Pierrot Toussaint, j'étais au lycée de Valbenoîte et c'est par ce biais là - je courais, je faisais de l'ASSU (NDR : Association du sport scolaire universitaire devenue UNSS). Le prof d'EPS avait organisé une rencontre avec Pierrot Toussaint qui était à l'époque recordman du monde du 1000 mètres en salle. Par ce biais-là aussi ça m'a donné envie de courir. Je courais déjà et j'étais minime à l'époque.

Ensuite, je ne devais pas être trop mauvais parce que  - il n'y avait pas de championnat de France de cross à l'époque - mais les meilleurs cadets français étaient regroupés lors d'un stage national qui se déroulait à Cap-Breton (Landes).

C'était les cinq meilleurs de chaque Ligue de l'époque.

J'avais participé à ce stage national. Il y avait Guy Novès, l'ex-entraîneur national de rugby qui était recordman de France du 1200 mètres. À l'époque on courait soit le 1200 m soit le 2000 m en cadets.   

Et ensuite, j'ai poursuivi.

À SUIVRE…